Philippe est passé d’un poste d’auditeur à un poste de Project Consultant chez TriFinance

Au terme de ses études d’économie et de management, Philippe a été embauché par une grande banque : « J’y étais chargé de l’octroi de crédits, un emploi dont je me suis rapidement lassé. Après six mois, j’ai été engagé chez l’un des ‘Big 4’ en tant qu’auditeur, un événement qui a marqué le début d’une période très enrichissante pour moi. Cependant, ce travail n’en était pas moins répétitif et m’a donné envie de trouver autre chose qui me permettrait réellement de laisser ma marque. Un an et demi plus tard, je commençais chez TriFinance. »

Choisir soi-même son trajet professionnel

On ne quitte pas l’un des « Big 4 » sans réfléchir, mais la philosophie de TriFinance a immédiatement plu à Philippe : « Les collaborateurs sont au cœur des préoccupations de l’entreprise. Chez mon ancien employeur, on ne me demandait par exemple jamais sur quels projets je voulais travailler. Tout tournait autour des exigences du client. Chez TriFinance, les collaborateurs peuvent choisir l’évolution qu’ils veulent donner à leur carrière. Chacun peut indiquer quelles missions il recherche et dans quels secteurs il aimerait travailler. »

« La culture en matière de carrière est très différente par rapport à mon ancien employeur. Là-bas, on avait trois entretiens d’évaluation par an, dont un qui décidait si l’on pouvait prétendre à une promotion. J’ai déjà eu plusieurs évaluations chez TriFinance, et elles sont très différentes. Ici, on me demande par exemple si je me sens bien dans la mission qui m’a été confiée et quels sont mes besoins. C’est surprenant, mais aussi tout à fait en phase avec ce que les nouvelles générations attendent d’un employeur.

La structure est aussi beaucoup plus horizontale chez TriFinance : nous sommes presque tous Project Consultants, avec des niveaux d’expérience différents. Chez mon ancien employeur, tout était très hiérarchisé, avec notamment des juniors et des seniors. »

D’auditeur à Project Consultant

Bien que Philippe puisse utiliser son expérience en matière d’audit dans ses missions actuelles en tant que Project Consultant, il n’en constate pas moins de nombreuses différences : « Un auditeur est et restera toujours un outsider. De nombreux travailleurs n’apprécient pas la présence d’un auditeur, car il s’agit de quelqu’un qui vient examiner les chiffres et qui, par-dessus le marché, demande l’aide (et le temps) des travailleurs pour accomplir cette tâche. Un Project Consultant, en revanche, fait vraiment partie de l’entreprise. Il intègre une équipe pour aider un client à améliorer ses processus. »

Philippe ne cesse d’étoffer ses connaissances, tant au contact des clients que par le biais de formations. « Pour le moment, je suis des formations de notre Business Controlling Academy. C’est passionnant, et cela me permet d’élargir mon expertise pour mes projets à venir. Au terme de chaque formation, je reçois un certificat qui vient aussi joliment compléter mon CV. »

L’appréciation du client est une autre précieuse source de motivation pour Philippe : « Ma première mission pour TriFinance a été un projet de controlling chez un poids lourd de l’importation et de la distribution de voitures. Lorsque ce client a eu besoin d’un remplaçant au poste de Business Manager, TriFinance a parlé de moi. Le client a tout de suite accepté, malgré le fait que je n’avais pas autant d’années d’expérience que mon prédécesseur. Cette confiance, tant de la part du client que de TriFinance, est très agréable et renforce ma motivation pour la suite. »

La consultance selon TriFinance

Dans ses projets, Philippe fait preuve d’un grand esprit d’entreprise : « J’aime identifier où une marge d’amélioration est possible chez le client et entreprendre les étapes nécessaires à cette amélioration. Par exemple, mes tâches ont largement évolué lorsque je travaillais sur un projet chez un acteur actif à l’échelle internationale dans le secteur des transactions financières. Cette évolution a aussi considérablement changé la portée du projet. Mais que les choses soient claires : c’était mon choix d’accepter ces responsabilités supplémentaires. Les collaborateurs TriFinance décident eux-mêmes jusqu’où ils souhaitent aller dans un projet. »

La consultance a souvent mauvaise réputation. Mais la définition qu’en a TriFinance a tout de suite séduit Philippe : « La culture de TriFinance me convient parfaitement. Je dispose de toute la marge nécessaire pour définir moi-même ma carrière, pour développer mon expertise et pour faire la différence chez les clients. Le tout, dans une ambiance conviviale et avec un bon équilibre travail-vie privée. Pour le dire plus clairement : si je quitte un jour TriFinance, c’est que j’aurai décidé de laisser la consultance derrière moi. »